Aujourd'hui, changement de camp de base ! 🏕️
Les choses sérieuses commencent aujourd’hui avec l’installation au premier camp de base.
La mission est donc d’emporter les 85 kilos de matériel du camps d’accueil où nos deux aventuriers étaient depuis leur arrivée au premier camps de base, à 4.400 mètres d’altitude.
Ces 700 mètres d’altitude sont un enjeu important. Ils permettent de continuer l’acclimatation et de commencer à se rapprocher des 5000 mètres lors des sorties.

Une halte de quelques jours au Pic Petrovski
Le premier camp de base est situé proche du Pic Petrovski, un sommet qui culmine à 4.910 mètres, soit un peu plus haut que le Mont Blanc.
La météo est forcement un peu plus extrême avec l’altitude : plus de vents, plus froids, moins d’oxygène.
La vue aussi est de plus en plus belle , la nature de plus en plus sauvage et impressionnante comme le montre la vue de la tente.
Le message du jour de nos deux aventuriers :
“Montée au Camp 1 finit ! Pas la même rigolade aujourd’hui ! 30 kg sur un cheval et 20 kg chacun a cette altitude ça secoue quand même !
Mais ca la fait on a mis 5h30 !
Pour ne pas changer quand on arriver c’est quelque bon plat de récupération et control chef de camp avec futur programme ! Ici on sort pas du camp sans l’informer !
Et contrôle médicale ! Les constante sont bonnes on continue l’acclimatation !”
Ouf



Un des pièges de la montagne : le pont de neige
Un pont de neige est un arc formé par la neige au-dessus d’une crevasse, d’une fissure rocheuse, d’un ruisseau ou d’une autre ouverture . Il est généralement formé par une congère, qui crée d’abord une corniche, qui peut ensuite s’étendre jusqu’à atteindre l’autre côté de l’ouverture.
Plus ou moins fragile, le pont de neige peut rompre au simple passage d’une personne, entraînant ainsi sa chute jusqu’au fond de la crevasse. Le terrain en montagne peut être extrêmement glissant : glace, neige, névé (neige durcie qui persiste l’été même en moyenne montagne), rocher mouillé, etc.

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